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L'Actu des Pintades !
24 février 2009

suite du test Quelle Pintade êtes-vous ?

Comme promis, voici la suite du test qui vous permettra de savoir de quel poulailler vous vous chauffez ! Pour celles qui auraient raté la première étape, un retour au 17 février s'impose ...


DANS VOTRE TABLE DE CHEVET, VOUS AVEZ

  • Un Rabbit-habit (A)
  • Vénus Erotica d'Anaïs Nin  (E)
  • Une flasque de gin (B)
  • Peu importe la table de nuit, vous avez un homme dans votre lit (C)
  • Un flacon d’eau de jasmin (D)

CETTE SAISON, VOTRE SAC RESSEMBLE A

  • Une grande besace jaune poussin avec boucles dorées vue dans Vogue. (A)
  • Un sac à dos pour votre pince à vélo et votre parapluie (B)
  • Un faux Chanel avec chaînes dorées. (D)
  • Un sac en toile enduite issue du commerce équitable (E)
  • Vous n’avez pas de sac. Vous avez peur de vous le faire voler. (C)

QUAND VOUS VOUS DÉPLACEZ, VOUS PRENEZ

  • Une voiture blindée, vous avez peur de vous faire kidnapper. (C)
  • Une voiture blindée, vous avez peur des attentats à la bombe. (D)
  • Vous ne vous déplacez pas. Ça vous prendrait trop de temps. (B)
  • À vélo, en pestant contre la pluie et la pollution (E)
  • En métro, même si vous n'avez toujours pas compris comment il fonctionnait. (A)

QUAND VOUS SORTEZ ENTRE FILLES

  • À deux, presque en amoureuses. (E)
  • Vous vomissez à l’unisson après avoir éclusé vos 18 pintes de Guinness (B)
  • Vous vous retrouvez en troupeau, et c’est à celle qui rira le plus fort. (A)
  • Vous vous retrouvez à la terrasse d’un café et vous vous demandez où sont passés les hommes. (D)
  • Franchement, à choisir, vous préférez sortir avec des garçons. (C)


CHACUN SA CAUSE

  • Les chiens, les chats, les veaux, les agneaux, les cochons d'Inde, tous méritent une vie agréable. Rien ne vous rend plus triste que la vue d’un steak. (B)
  • On verra après le match de foot et le dernier épisode de votre série télé préférée. (C)
  • C’est assez simple, ça s’appelle la paix et c’est urgent ! (Beyrouth)
  • Faire la peau au capitalisme. Vous avez une photo d'Olivier Besancenot ou de Nicolas Hulot au-dessus de votre lit. (E)
  • Vous faites des donations au Met, au MOMA, à Carnegie Hall, au Homeless Shelter de Queens, aux femmes battues, à la lutte contre le cancer. Chaque semaine, vous marchez, vous courrez, vous chantez, vous embrassez, pour lever des fonds. Tous les –athon de la ville vous sont une douce mélodie qui vous fait penser que tout n’est pas perdu. (A)

VOS LECTURES

  • Le numéro de Septembre de Vogue, avec lequel vous vous musclez les triceps tellement il est lourd (A)
  • Vous survolez les 30 romans de la rentrée littéraire dont tout le monde parle pour ne pas être prise au dépourvu dans un dîner (E)
  • Le rapport sur la crise du logement préparé par le Parlement (B)
  • Les derniers messages de vos potes sur Orkut (C)
  • Les Croisades vues par les Arabes d’Amin Maalouf

gimmick_beaut__1_finalRÉSULTATS

VOUS AVEZ UNE MAJORITÉ DE (A) : VOUS AVEZ UN TEMPÉRAMENT DE NEW YORKAISE

Vous habitez peut-être dans l’Hexagone mais, en vrai, vous appartenez plus aux rues de l’East Village, de South Bronx ou de Red Hook. Vous êtes incollable sur les buildings de Manhattan, et vous savez calculer 15 % de pourboire en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
La vue de vos ongles, atrocement peinturlurés par l’amatrice que vous êtes, vous déprime presque autant que le fichier Edvige. Depuis toujours, vous pensez que la manucure est un droit, au même titre que l’échographie à la 12e semaine de grossesse. Vous vous dites que le jour est encore loin où votre Conseil général équilibrera son budget en augmentant la taxe locale sur les manucures (ce qu'a récemment fait l'État de New York).
Vous avez un troupeau de copines avec qui vous sortez au moins une fois par mois dans le dernier bistrot chroniqué par le Fooding.
Et malgré leur atavisme culturel, vous êtes parvenue à dompter les garçons de café : ils déboulent prendre votre commande en 30 secondes, et avec le sourire. La prochaine fois que vous prenez un taxi, n’hésitez pas à donner votre itinéraire. On est sûres que le chauffeur vous écoutera. Et n’oubliez pas de laisser un tip !

VOUS AVEZ UNE MAJORITÉ DE (B) : VOUS AVEZ UN TEMPÉRAMENT DE LONDONIENNE

Cette histoire de roi et de reine trucidés sur la place publique, certes c’était il y a des siècles (littéralement), mais ça vous a toujours posé un problème. Vous pensez que c'était une grosse erreur. Avoir une reine, c’est chic, c’est Posh. Même si ça ne sert qu’à en dire du mal. Carla ne suffit pas, c’est fou ce que la vie serait plus gaie avec une famille royale pour nous distraire. Vous êtes une Londonienne dans l’âme.
La bruine et le crachin sont vos meilleurs produits de beauté. Votre teint d’albâtre, c’est à la pluie que vous le devez. Pour être heureuse, rien de tel que d’avoir le nez dans les roses, les pieds dans le crottin.
On vous complimente souvent sur vos tenues edgy dégottées dans les friperies. Tous les vendredis, vous enfilez vos plus beaux collants flashy, avant d'aller ingurgiter un hectolitre de bière avec vos girlfriends (mais bon, vous avez encore du mal à vous faire à l'idée que vomir dans la rue n'est pas un problème).
La prochaine fois que vous allez au supermarché, osez : achetez une boîte de baked beans et mangez-les sur des toasts. Ne mentez pas, vous en mourez d’envie.

VOUS AVEZ UNE MAJORITÉ DE (C)  : VOUS AVEZ UN TEMPÉRAMENT DE CARIOCA

Depuis toute petite, vous savez que vos pieds sont dotés d’une capacité de mouvement qui n’a rien à voir avec le reste de votre corps. Vos amis disent que vous avez le rythme dans le sang. Vous avez pris des cours de salsa, et vous ne pouvez pas vous empêcher de danser la Tecktonik avec vos neveux. La famille pour vous, c’est sacré. Même si parfois, vous aimeriez bien envoyer balader votre mère, vous savez qu’au fond vous ne pouvez pas vous passer d’elle.
Votre obsession suprême se trouve au-dessous de la ceinture et se gère (dans la douleur) à coup de bandelettes de cire. Vous êtes très soucieuse de votre apparence et ça fait déjà longtemps que vous vous faites piquer le front pour repousser les plis du temps. Après votre troisième grossesse, vous vous êtes promis de faire retendre cette peau du ventre superflue (vous pouvez peut-être en faire cadeau à quelqu’un qui en aurait besoin ?).
Pour vous faire craquer, votre jules doit savoir qu’il peut laisser les roses chez le fleuriste. Qu’il vous apporte plutôt deux papayes bien mûres, une mangue et une demi-douzaine de maracujas. Votre appétit carioca sera rassasié.

VOUS AVEZ UNE MAJORITÉ DE (D) : VOUS AVEZ UN TEMPÉRAMENT DE BEYROUTHINE

Ce n’est pas une famille que vous avez, c’est une tribu, dont vous êtes inséparable. Rien ne vous enchante plus qu’une descente au hammam avec les femmes de votre clan, pour une journée de palabres et de massages.
Les guerres fratricides ne vous ont jamais intimidée. Déjà en CP, vous aviez votre bande et, à la récré, vous jouiez le remake de La Guerre des boutons pour la prise de contrôle de la balançoire et des toboggans.
Aujourd’hui, vous préférez rejoindre votre meilleure amie pour débriefer les derniers gossips autour d'un thé à la menthe et d'une chicha. Vous ne pouvez pas imaginer passer une année sans voir la Grande Bleue. Votre cœur est oriental. Vous êtes beyrouthine sans le savoir.

VOUS AVEZ UNE MAJORITÉ DE (E) : VOUS AVEZ UN TEMPÉRAMENT DE PARISIENNE

Vous êtes élitiste, nombriliste, ethnocentriste. Et vous assumez. En-dehors de Paris, la vie vous semble fade, morne, vulgaire. Pour vous, être Parisienne est un job à plein temps. C’est fou ce que c’est prenant d’être râleuse.
Pas un voyage en métro sans que vous ne finissiez pas marmonner votre mécontentement, mais quand votre voisin de banquette, visiblement un touriste, acquiesce à votre acrimonie, vous lui rappelez que Paris est la plus belle ville du monde. Oh eh ! La râleuse, c’est vous ici !
Vous adorez refaire le monde (et parler cul) en sirotant une bonne bouteille avec votre meilleure amie, à la vie à la mort.
Vous êtes athée, mais vous avez vos bibles. Elle le samedi, Télérama le mercredi, et de temps en temps Closer (que vous lisez en cachette dans le RER, en le planquant dans votre grand sac). Vous adorez les autres capitales, mais c’est Paris que vous avez dans le cœur.

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